Projet Celestus : Différence entre versions

"Avant que notre peuple commence à voyager entre les étoiles, les trous noirs n’étaient presque connus que par la théorie. Quand nous avons pu en savoir plus de façon pratique sur eux, de nouvelles lois physiques ont pu être mises en place prédisant un objet spatial encore plus étonnant. Lorsque les paramètres physiques d’un trou noir sont dépassés, il se change en une énergie de satomisation dormante possédant le potentiel de création de l’univers. Les calculs pour déterminer avec précision les limites physiques distinguant les trous noirs de ces objets (nommés « Celestus » en rapport avec l’ancienne mythologie de création de notre univers) ne sont pas encore aboutis."

"Les calculs concernant les limites d’apparitions du Celestus font état d’une densité équivalente à mille milliards unités de métal pour le trou noir et son disque d’accrétion. En effet, cette concentration de matière forcerait sous la force gravitationnelle à ce que les noyaux des atomes eux-mêmes perdent leur structure physique retournant à leur état d’énergie satomisante. Cependant, il semblerait que le calcul soit incomplet puisque la matière en elle-même ne peut entraîner le surplus d’énergie nécessaire à la formation du Celestus."

"Après de nombreuses spéculations sur l’incapacité à l’énergie satomisante d’atteindre un niveau critique en vue de la formation, la solution est apparu de la façon la plus simple qui soit. L’ajout d’énergie de façon conventionnelle est la clef ! Bien sûr, les quantités sont énormes, les calculs prédisent 100 Proto-piles au moins c'est-à-dire l’énergie nécessaire à près de 100 000 connections inter Portes spatiales !"